Un sinistre peut toucher n’importe quelle habitation à n’importe quel moment. Dégât des eaux, sécheresse, humidité, incendie, etc., quel qu’il soit, on ne peut pas y échapper. Néanmoins, on peut demander à se faire indemniser si on a souscrit une assurance couvrant ces dommages. Le montant d’indemnisation proposé par son assureur n’est cependant pas toujours suffisant pour tous les couvrir. Si tel est le cas, il est recommandé de réaliser une contre-expertise. Afin qu’on obtienne un remboursement juste, celle-ci se doit toutefois d’être qualitative. Pour cela, il faut qu’elle se fasse en quelques étapes. Le point dans cet article.
Analyse des contrats
Pour s’assurer qu’une contre-expertise est de bonne qualité, les spécialistes comme le cabinet Omega Expert procèdent tout d’abord à une analyse des contrats de l’assuré. Durant cette étape, ils prennent en compte à la fois les modalités contractuelles et les conditions générales. Ils ne prennent donc rien à la légère pour défendre au mieux les intérêts de leurs clients.
Constatation des dégâts
Une fois qu’ils ont correctement analysé les contrats du sinistré et se sont assuré que tout est en ordre, les experts d’assuré effectuent un état de perte. Ils procèdent ainsi à une constatation des dégâts. Quel que soit le sinistre subi par l’assuré, ils examinent de fond en comble l’habitation concernée afin de connaître l’origine des dommages.
Évaluation des préjudices
Après constatation des dégâts, les spécialistes comme le cabinet Omega Expert évaluent les préjudices. Cette étape consiste donc à mesurer l’ampleur des dégâts. Ici, l’expert d’assuré en charge de la contre-expertise prend tout en compte pour ne rien laisser de côté. Pour que l’assuré obtienne une indemnisation juste, il faut en effet que tous les dommages sans exception soient couverts.
Montage du dossier
La prochaine étape est le montage du dossier. L’expert d’assuré engagé pour réaliser la contre-expertise récolte des preuves ainsi que tous les documents de chiffrage nécessaires. En règle générale, le sinistré devrait lui remettre tous les documents qu’il a à sa disposition dès son arrivée sur les lieux du sinistre pour accélérer les différentes démarches. Cela inclut bien sûr ses contrats.
Rédaction du rapport
Maintenant que les dégâts sont évalués et le dossier monté, l’expert d’assuré concerné a la possibilité de rédiger son rapport d’expertise. Durant l’élaboration du procès-verbal, il prend bien évidemment en compte tous les documents et preuves qu’il a récoltés précédemment. Il en est de même pour les résultats de son évaluation des dommages. Une fois de plus, rien n’est à délaisser.
Négociation du montant d’indemnisation
Après la rédaction de son rapport d’expertise, l’expert d’assuré peut procéder à la négociation des indemnités auprès de l’assureur de son client. Durant cette étape, il rencontre l’expert d’assurance mandaté par l’assureur et essaie de trouver un accord avec lui. Au cas où il n’y parvient pas, une troisième expertise peut être réalisée en fonction de la convenance de chacun.
Suivi du paiement
Si après la contre-expertise, l’expert d’assuré et l’expert d’assurance se sont mis d’accord sur le montant d’indemnisation à proposer au sinistré, ce dernier pourra enfin obtenir les indemnités souhaitées. L’intervention de l’expert d’assuré ne s’arrête toutefois pas là. Il doit encore faire un suivi du paiement de l’indemnisation et s’assurer donc que l’assuré en bénéficie réellement.
Clôture du processus
La dernière étape d’une contre-expertise qualitative est la clôture du processus auprès de l’assureur. Bien sûr, cette étape n’intervient qu’après que l’assuré ait obtenu l’indemnisation estimée par l’expert d’assuré. Une fois qu’il a reçu le montant nécessaire, le sinistré peut procéder aux diverses réparations pour remettre son bien immobilier en état.